Py-r

Dans une cave lumineuse proche de la Garonne, ce restaurant gastronomique (une étoile Michelin) vous laissera des souvenirs de goûts précis, de textures claires, de produits travaillés de façon originale sans être dénaturés. Le service et l’ambiance vous feront passer un moment de détente hors du temps. Le menu, exposé de façon minimaliste, ne sert que de fil conducteur à un repas plein de surprises mais cohérent. Une des meilleures adresses de la ville.

Les Complices

Vous n’aurez pas beaucoup de choix mais ce n’est pas grave car vous goûterez beaucoup de petits plats magnifiquement exécutés. Parmi les associations marquantes : truite, pomme, yuzu, aneth. Ou encore : burger de pot-au-feu au beaufort.

Motchiya

C’est une toute (toute) petite salle qui cache une très grande cuisine malgré sa simplicité apparente. Le chef japonais propose chaque jour un plat unique différent, mélange de cuisines japonaise et française avec des produits locaux et frais. Un exemple, le sashimi de truite bio des Pyrénées. En attendant votre plat, vous pourrez déguster de très bons thés japonais.

Les Sales Gosses

Le chef a officié chez Sarran et ça se voit. Ambiance décontractée, cuisine gourmande, inventive et chaleureuse.

Deux établissements à quelques rues d’écart :  « le restaurant » et « le bistrot ».

Chez Yannick

Le midi, menu renouvelé quotidiennement. Le soir, carte plus bistronomique très bien exécutée. Salle agréable et aérée dans une ambiance bistro. Très bon accueil.

Ô Boui Boui Lao

Loin d’être un boui-boui, ce petit restaurant propose une cuisine laotienne et thaïlandaise familiale réalisée avec soin. Pour ne rien gâcher, on y est très bien accueilli.

Shun

La salle ne paie pas de mine. On se croirait presque à la cantine. Mais le chef japonais y sert parmi les meilleurs sushis de Toulouse.

Michel Sarran

Manger chez Sarran, c’est mettre les pieds dans l’établissement le plus réputé de la ville (double étoilé Michelin), sans intimidation. L’accueil est chaleureux, le personnel est aux petits soins et la cuisine est réconfortante malgré sa grande sophistication. La technique ne prend jamais le pas sur l’émotion et à la fin du repas, on se dit qu’il faut une maîtrise extraordinaire pour que d’un travail si complexe ressorte l’harmonie de ce qui est naturel.

La Pente Douce

Le chef Hamid Miss, autodidacte, a commencé par recevoir à son domicile avant d’ouvrir ce restaurant qui ne désemplit pas. La salle au décor doux et épuré est agréable et les assiettes le sont encore infiniment plus. Le chef y mélange la cuisine française et son Maroc d’origine au gré de ses inspirations qui mettent en scène épices, bouillons, textures avec des produits de qualité.

Les restaurants du marché Victor Hugo

Autre institution locale, ces restaurants sont regroupés au premier étage du marché Victor Hugo (il faut pousser une porte discrète et monter un petit escalier). Ils servent tous une cuisine simple faite avec des produits frais dans une ambiance conviviale. Le plus réputé est sans doute le Louchébem (spécialité de viandes).